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Un de nos partenaire financier de longue date a bien voulu nous partager son cœur pour la formation et son histoire avec la FLTE. Il a souhaité rester anonyme.
Je soutiens la FLTE depuis mon premier salaire, je pense en 1984 ou 1985.
J’ai donné mes premières « dîmes » à des associations sur mon argent de poche quand j’avais seize ans. Cela remonte à plus de quarante ans… ( Pour l’anecdote, il reste une œuvre à qui je donne encore aujourd’hui !)
La quasi-totalité de nos dons (en tant que couple) se font de façon mensuelle. D’une part, je sais par expérience que la plupart des missionnaires et des organisations préfèrent un « petit don » régulier à un « grand don » irrégulier : après tout, nous avons tous nos charges fixes, qui d’habitude sont mensuelles ! Et d’autre part, c’est plus facile à gérer pour nous aussi.
Oui, je suis ancien étudiant de la FLTE, et je pense que notre don traduit aussi mon immense gratitude pour quatre années très formatrices, non pas seulement sur le plan théologique, mais encore au niveau de ma vie spirituelle.
« Je pense que notre don traduit aussi mon immense gratitude pour quatre années très formatrices, non pas seulement sur le plan théologique, mais encore au niveau de ma vie spirituelle. »
Parce que la formation théologique des futurs serviteurs et servantes de nos Églises doit rester une priorité, mais ne l’est souvent pas sur le plan financier.
Nous soutenons concrètement la bibliothèque ! Quand j’étais étudiant, il y avait un frère parisien qui le faisait, mais il est décédé, et j’ai voulu en quelque sorte prendre son relais : les livres sont chers, et la bibliothèque de la Fac est très importante pour le niveau de la formation.
L’impact que je voudrais avoir, c’est la joie d’avoir contribué à former des gens intelligents qui vont servir le Seigneur et l’Église avec un bagage solide et durable.
L’amour de Dieu, de sa Parole et de son Église ! Ensuite, la qualité académique à travers le corps professoral. Et encore l’ouverture œcuménique intra-évangélique : je suis très heureux d’avoir eu, à l’époque, à faire avec vingt nationalités et autant de dénominations. Cela m’a encouragé pendant toute ma vie pastorale à rester ouvert aux Églises autres que celles de ma propre dénomination.
« L’impact que je voudrais avoir, c’est la joie d’avoir contribué à former des gens intelligents qui vont servir le Seigneur et l’Église avec un bagage solide et durable. »
Si vous aussi, vous avez à cœur d’investir dans la formation des responsables de demain pour l’Église et la Mission, vous pouvez soutenir la FLTE par un don ponctuel ou régulier
