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S'inscrireEn Septembre, l’équipe doyen/vice-doyen actuelle composée de Christophe Paya et Jacques Nussbaumer, laissera la place à une nouvelle équipe : Cédric Eugène et Antony Perrot.
CP : En effet c’est original ! J’ai commencé par des études scientifiques, puis professeur de mathématiques, maîtrise de théologie à la FLTE, Doctorat, à peu près 10 ans de pastorat, et enfin retour à la FLTE en tant qu’ enseignant.
CE : Pareil pour moi avec en plus professeur des écoles avant de commencer mes études de théologie en Institut Biblique à l’IBPB, puis à la FLTE.
CP : Le doyen pilote le projet pédagogique de la faculté. Il rencontre les représentants des étudiants, il peut aussi représenter la faculté lors d’événements extérieurs, et il fait le lien avec le Conseil d’administration.
CE : Il doit aussi maintenir l’accent sur la vision et la mission de la FLTE.
CP : Le comité des études, après réflexion, propose un nom au Conseil d’Administration qui ensuite valide la nomination, avec celle du vice-doyen pour 5 ans renouvelable.
CE : Personnellement, je ne peux pas dire que j’aspirais à devenir doyen mais j’avais un aspiration plus large à être au service de la faculté selon l’utilité commune. Nous ne voyons pas cela comme une promotion même s’il y a un honneur et un acte de confiance. Cela reste une des formes d’engagement envers la Faculté.
« Nous ne voyons pas cela comme une promotion […] Cela reste une des formes d’engagement envers la Faculté. . »
CP : Sans hésitation la période COVID. Nous avons dû mettre en œuvre des changements conséquents en très peu de temps. En outre le suivi des étudiants était difficile.
CE : Je crois que la priorité s’affirmera lors de la première année. Mais pour l’instant je dirais conforter le positionnement relationnel et académique de la faculté : nous avons une réputation sérieuse et de qualité, avec des relations établies dans le paysage évangélique, mais en même temps il y a des partenariats encore possibles et une ouverture à développer, en particulier vers l’Afrique. J’aimerais raviver certaines de ces relations et concrétiser des projets endormis.
CE : J’en vois au moins un : développer une théologie qui résiste aux polarisations mais qui au contraire nous aide à avoir une forme d’équilibre. Il nous faudra développer théologie du dialogue au service de la relation à Dieu et de l’amour du prochain.
CP : Je pense que l’enjeu pour la FLTE sera de gérer sa double orientation : c’est-à-dire allier la recherche théologique académique et développer une théologie au service de l’Église et la Mission.
« Il nous faudra développer une théologie du dialogue au service de la relation à Dieu et de l’amour du prochain. »