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Entretien avec Claude et Claudette GROSHENRY

Entretien avec Claude et Claudette GROSHENRY

À la faculté, il n’y a pas que les professeurs et les étudiants qui travaillent : découvrez l’histoire de ce couple de retraités qui œuvrent dans l’ombre pour permettre à la FLTE de former des responsables pour l’Église et la Mission. 

Comment avez-vous connu la FLTE ?

Claude : J’ai toujours connu la faculté. Je venais déjà jouer ici dans mon enfance, avant l’existence de la FLTE. Mais nous avons aussi des liens avec la Faculté par le biais de l’Église Protestante Évangélique de Meulan, proche du campus de Vaux-sur-Seine.

Pourquoi avoir choisi de servir à la FLTE ?

Claude : Nous avons toujours été bénévoles pour Christ. Servir pour nous c’est une évidence. Nous sommes bénévoles à la faculté depuis environ 10 ans. En fait, le projet de rénovation du campus, porté par le directeur de site Pierre-Philippe Czermak, nous a inspiré. Il a une vision pour l’avenir et il s’y attache avec diligence. On sent qu’on fait partie d’un projet qui avance concrètement et qui a un vrai impact. On le voit notamment dans la reconnaissance des étudiants, actuels et anciens.

« On fait partie d’un projet qui avance concrètement et qui a un vrai impact »

Claude GroshenryRetraité bénévole

Et concrètement, qu’est-ce que vous faites ?

Claudette : Tout ce qui a besoin d’être fait ! Jardinage, ménage, lessive, rangement… Je viens au moins une fois par semaine et j’adapte mon travail au besoin.
Claude : Pour ma part, ce sont principalement des travaux (je suis ancien responsable maintenance et travaux dans l’aéronautique). Je viens au minimum trois fois par semaine.
Claude et Claudette : Il y a beaucoup de travail, mais être au service des étudiants est une bénédiction pour nous. Nous voulons lancer un appel : s’il y a d’autres retraités chrétiens dans la région, qu’ils viennent nous rejoindre !

« Nous voulons lancer un appel : s’il y a d’autres retraités chrétiens dans la région, qu’ils viennent nous rejoindre !  »

Comment voyez vous l’avenir de la FLTE?

Claudette : Je porte vraiment l’avenir de la faculté dans mon cœur. Elle gagne à être connue et à rayonner dans le monde évangélique français et international. J’ai connu ce qu’elle était avant et quand je vois ce qu’elle est maintenant, je ne peux que me réjouir de ce qu’elle devient.
Claude : Je suis très encouragé par la gratitude des uns et des autres. Au niveau municipal, la faculté crée un intérêt qu’il n’y avait pas il y a quelques années.

C’est grâce aux bénévoles, aux donateurs, ainsi qu’aux nombreuses prières que la FLTE peut continuer de faire avancer le Royaume aujourd’hui. Merci à tous ces nombreux soutiens de l’ombre.

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